Jacquet N., Istasse T., Berchem T., Charlier R., Delplace F., Kirimo Kambale N., Lomré A., Nicodème T., Bombeck P.L., Haubruge E., Richel A.
Introduction
Le bioraffinage s’impose progressivement, à l’échelle commerciale, comme complément ou alternative aux filières de production traditionnelles. Littérature. A ce jour, les principaux sites industriels de bioraffinage s’orientent vers la production de biocarburants (bioéthanol ou biodiésel). Le territoire wallon, de par son accès limité aux ressources végétales renouvelables, semble cependant s’orienter spécifiquement et compétitivement vers la production à plus faibles tonnages de bioproduits.
Conclusions
Afin de mener à bien cette initiative, cette étude propose d’argumenter le meilleur choix stratégique devant être ciblé par la Wallonie: développer de nouveaux sites de production autonomes (énergétiquement suffisants et avec des filières d’approvisionnement indépendantes) ou s’ancrer à des systèmes ou des installations de production existants (et bénéficier des facilités déjà opérationnelles d’accès à l’énergie et aux matières premières). Le design de nouvelles unités de bioraffinage intégrées à des unités de production existantes semble être la meilleure option à définir pour le territoire wallon.
Ce travail a été réalisé dans le cadre du cours “Procédés de bioraffinage et de biotechnologie blanche” (Prof. A. Richel) dispensé à Gembloux Agro-Bio Tech